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La fin du monde: Le jour où la Terre s'arrêta.

Keanu Reeves passe son costume Matrix pour celui de Klaatu, l'extraterrestre qui vient prévenir la Terre de sa fin proche. Un film avec une belle morale, mais très hollywoodien sur la forme.

 Et ça parle de quoi ?

Klaatu (Keanu Reeves) un extraterrestre débarque sur Terre, et sous une forme humaine. Il sait tout sur la Terre, ses façons de faire et les habitants qui la dégradent de jour en jour. Mais son arrivée va provoquer des changements extraordinaire. Le Dr Helen Benson (Jennifer Connolly) et quelques scientifiques vont tenter de percer son mystère, Benson réussit à lier contact avec et tente de comprendre le sens de sa mission. Intéressant non?

 

Reeves, grande classe.

Même en extraterrestre il en fascine encore certain(e)s, le costume bien taillé, l'air impérial et sûr de lui, voir même arrogant. On remarque sa facilité dans le personnage, très réaliste et très bien interprété, le choix Reeves s'avère payant. Plus étonnant pourrait être aussi la performance actorale de Jennifer Connolly que l'on avait vu dans Blood Diamond, Little Children, Requiem for a dream, et qui joue parfaitement bien son rôle pas si prétentieux que dans d'autres films où les scientifiques s'amuse à jouer les héros impossibles.

Le jour où la Terre s'arrêta

La réflexion du changement

C'est probablement selon cine-emotions la réussite du film, cette grande faculté du scénario à poser la question : peut-on changer quand on est au bord du gouffre ? Une explication qui peut être valable dans tout les sens et situations possibles, que ce soit la fin du monde, ou un problème personnelle à remonter. Une bonne réflexion personnelle s'impose presque à la sortie du film… ou alors on bave sur Keanu Reeves, au choix.

LA NOTE: 11,5/20



29/05/2009
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